SUR LES BORDS #2 - WEEK-END PERFORMANCES
ALICE / ÉRIC BAUDELAIRE / VALÉRIE CASTAN / PAMINA DE COULON / MARION DUVAL & LUCA DEPIETRI / CÉLIA GONDOL / OLIVIA HERNAÏZ / KA(RA)MI - Dj set / TINO SEHGAL...
le week-end de performances Sur les bords #2 prolonge les interrogations de la première édition avec en tête une question qui touche aux traces que dépose une œuvre en chacun·e de nous. Comment les œuvres agissent-elles ? Qu’est-ce qu’il se passe dans notre “corps de public” ? Quelle relation à l’oeuvre pour quelle action en nous ? Comme le premier, ce week-end se dépliera dans les différents espaces du théâtre !
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cliquez sur les liens ci-dessous pour découvrir le programme détaillé des 3 jours :
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→ programme du vendredi (à partir de 18h)
→ programme du samedi (à partir de 14h)
→ programme du dimanche (à partir de 13h)
en co-commissariat avec Charlotte Imbault
VENDREDI 4 OCTOBRE
19h
lancement du week-end avec les artistes, au bar
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What you see, Charlotte Imbault, salon d’écoute / bar (en continu)
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Where is my (deep) mind ? film, Julien Prévieux, salon (en continu)
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Ariane Loze, film, plateau 3 (en continu)
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Wild Minds, Marcus Lindeen, plateau 2 (45 mn)
20h
Penelope sleeps, Mette Edvarsen et Matteo Fargion, plateau 1 (1h30)
22h
Wild Minds, Marcus Lindeen, plateau 2 (45 mn)
SAMEDI 5 OCTOBRE
14h
atelier libre sur présentation d’un billet du week-end, plateau 3 (sur inscription, 2h)
16h
What you see, Charlotte Imbault au salon d’écoute / bar (en continu)
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De près tu ne vois que la peinture, discussion Mathilde Maillard et *DUUU radio avec les artistes au bar (2h)
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Where is my (deep) mind ?, film, Julien Prévieux, salon (en continu)
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Les heures creuses, Dominique Petitgand, installation sonore, plateau 1 (en continu)
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Ariane Loze, film, plateau 3 (en continu jusqu’à 23h)
16h30
Wild Minds, Marcus Lindeen, plateau 2 (45 mn)
18h
Wild Minds, Marcus Lindeen, plateau 2 (45 mn)
18h à 22h
Time has fallen asleep in the afternoon sunshine, Mette Edvarsen
(sur rendez-vous sur place)
19h30
Wild Minds, Marcus Lindeen, plateau 2 (45 mn)
0h-2h
dj set (entrée libre)
DIMANCHE 6 OCTOBRE
13h
De près tu ne vois que la peinture, discussion Mathilde Maillard et *DUUU radio avec les artistes (2 h)
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What you see, Charlotte Imbault, salon d’écoute / bar (en continu jusqu’à 20h)
14h
atelier Libre sur présentation d’un billet du week-end, plateau 3 (entrée libre sur inscription, 2h)
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Where is my (deep) mind ? film, Julien Prévieux, salon (entrée libre en continu jusqu’à 20h)
14h à 17h
Time has fallen asleep in the afternoon sunshine, Mette Edvarsen (entrée libre sur rendez-vous sur place)
15h
Lettres de non Motivation, Julien Prévieux / Vincent Thomasset, plateau 2 (55 mn)
15h30/19h
Consul et Meshie, Latifa Laâbissi et Antonia Baehr, plateau 2 (entrées et sorties possibles au cours de la performance, 3h30 durée totale)
19h
Of Balls, books and hats, Julien Prévieux, plateau 1 (50 mn)
28 FÉVRIER – 1ER MARS
dans tous les espaces du théâtre
À SUIVRE :
SUR LES BORDS #3 du 26 au 28 juin
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propositions gratuites + spectacles payants
9€ avec le pass week-end
réservations par téléphone au 01 41 32 26 26 ou directement sur place, du mardi au samedi de 13h à 19h et les lundis de représentation
AVANT / APRÈS
D’où tu regardes ? Chaque week-end déplie plusieurs hypothèses de relations aux oeuvres. Qu’est-ce que ça change si les oeuvres débordent du plateau ? Si les oeuvres donnent accès à leur fabrication. Si nous pouvons tourner autour quand elles se composent et se décomposent en s’activant dans les différents espaces du théâtre et avec différentes temporalités. Comment un lieu s’active et peut être déplacé par l’oeuvre ? Et à l’inverse : comment les oeuvres peuvent-elles éprouver plusieurs formats ? Chaque week-end propose une circulation entre les oeuvres et leurs traces pensées en correspondance d’un jour à l’autre. Dans la singularité de chaque programmation, on peut retrouver une constance : un temps un peu particulier de paroles échangées autour du travail des artistes invité·e·s, en ouverture de chaque après-midi. Dans cette perspective d’activation, Sur les bords souhaite rompre le cadre habituel de nos attentes de spectateur·trice·s et pouvoir créer de l’inconnu. Ce que nous savons n’est jamais fixé une fois pour toutes.